S’enfonçant, spéculer (Antoine Boute)
Le récit s’ouvre sur un portrait laconique du héros. « Freddo est un drôle. Il élève des serpents dans sa cave, il marche courbé, il mange des orties. Ce type, quand on le voit, on se dit : ʺCelui-là, il doit sûrement lui arriver des aventures.ʺ Et c’est vrai. » D’entrée de jeu, le ton est donné. Notre héros se promène dans la forêt à côté de laquelle il habite avec son chien, Jean-Jacques, et cherche une idée de roman qui le rendra…